La Bourse, un temple du commerce aux parois fragiles ?
Tel Archimède je pousse un Eurêka de soulagement en authentifiant enfin l’affinité de mon contenu scrotal avec l’inoubliable “ 2001, l’Odyssée de l’espace “ film de science-fiction de Stanley Kubrick : c’est évidemment les valseuses.
Le réalisateur new-yorkais utilisa avec succès la suite de valses du “ Beau Danube bleu“ de Johann Strauss pour rappeler le mouvement des danseuses de valse lors du mouvement de rotation des satellites.
Le scrotum des mammifères multiplie les efforts pour protéger comme il peut les testicules (valseuses, joyeuses ou roubignoles en langage populaire)
Faut bien reconnaître que ce lien est aussi fragile que l’abri que confère cette bourse, ce petit sac de peau et de tissu fibromusculaire, ainsi ne put il résister à la faucille de Cronos qui émascula Ouranos ; on sait que de l’écume qui s’écoula des bourses ainsi coupées dans la mer jaillit Aphrodite, déesse de l’amour et de la sexualité !
Pas davantage de protection pour celle du loubard Pierrot (Patrick Dewaere dans la comédie dramatique de Bertrand Blier en 74) dont les valseuses ( titre de ce road movie générationnel) furent gravement amochées par le coup de feu d’un gérant de salon de coiffure après un braquage raté avec son complice Jean-Claude (Gérard Depardieu).
L'architecte Alexandre-Théodore Brongniart, s’il avait été informé de tous ces détails aurait- il accepté en 1808 de confiner dans son palais cette Bourse à la fragilité ci-dessus démasquée ?